lundi 17 novembre 2008

Brigitte Fouré au lancement du NOUVEAU CENTRE à BOULOGNE

Toutes nos excuses pour les photos.(panne de flash)

La députée européenne Brigitte Fouré (Nouveau Centre) est venue à la rencontre de professionnels de la pêche (mareyeurs, patrons de pêche) hier pour découvrir un milieu qu’elle ne connaissait pas. Elle était invitée par Richard Honvault, conseiller d’opposition à Boulogne.
« Je suis venue écouter, apprendre, pour mieux faire écho au parlement européen des problèmes que rencontrent les professionnels de la pêche. C’est un sujet dont nous parlons beaucoup avec Margie Sudre (aussi députée européenne) qui siège à la commission des pêches , explique la députée picarde. Cette visite a pour but de me donner une vision d’ensemble de la filière. » Hier après-midi, celle qui fut maire d’Amiens de 2002 à 2007 pendant que Gilles de Robien était ministre, a rencontré Joël Pichon, patron de l’entreprise de mareyage JP Marée et président du Syndicat des mareyeurs. Ce dernier lui a présenté le fonctionnement de sa société.
Aymeric Chrzan, secrétaire général des mareyeurs, qui n’a pas avalé qu’il n’y ait aucune aide pour le mareyage dans le plan Barnier, lui a fait passer le message « qu’on ne pouvait pas sérieusement envisager un secteur des produits de la pêche viable sans prendre en considération le mareyage ».
En fin de journée, juste avant de tenir une conférence sur le thème : « Un député européen, c’est quoi ? », Brigitte Fouré devait rencontrer des patrons pêcheurs qui ne portent pas dans leurs coeurs tout ce qui vient de Bruxelles. « Organiser la pêche est nécessaire pour éviter d’épuiser les ressources », disait la députée. Nul doute qu’avec une telle entrée en matière, le débat a dû être animé.
Richard Honvault devait officiellement annoncer la création d’une section boulonnaise du Nouveau Centre au côté de Jean-Pierre Pont, maire de Neufchâtel-Hardelot.

LE NOUVEAU CENTRE EST EN MARCHE DANS LE PAS-DE-CALAIS

vendredi 7 novembre 2008

REUNION PUBLIQUE A BOULOGNE SUR MER





François DECOSTER
Délégué départemental Nouveau Centre
Conseiller municipal de Saint-Omer



Richard HONVAULT
Conseiller municipal de Boulogne sur mer



Jean-Pierre PONT
Maire de Neufchâtel Hardelot
Vice président de la CA du Boulonnais
Ancien député



On le plaisir de vous inviter à la réunion publique qui aura lieu :
le Vendredi 14 Novembre 2008 à 19 h
à la salle de réunion du Foyer du Marin, Quai Chanzy à Boulogne-sur-Mer.



avec Madame Brigitte Fouré
Député Européenne Nouveau Centre (Groupe PPE-DE) et Ancien Maire d’Amiens de 2002 à 2007.

Thème : Un député européen, c’est quoi?

lundi 6 octobre 2008

Et si on essayait le vrai libéralisme social?

Friedrich Hayek, le chantre du capitalisme sans états d’âme, avait raison de prétendre que seul le capitalisme brut sans justice sociale peut apporter autant de développement économique et de richesse. Reste à savoir, comme il le prétend, si c’est alors le seul système viable car nous devons nous demander si amasser le plus de richesses possibles est le seul but poursuivi par les êtres humains. D’autant qu’il faut douter de cette volonté effrénée en nous rappelant que, confronter à des surplus toujours grandissant du fait d’une production de masse, les entreprises ont du inventé le marketing dans les années trente dont l’unique mission était de créer des désirs et des besoins artificiels toujours plus grands et plus nombreux afin de faire consommer les gens pour consommer et non pour satisfaire des besoins ou des envies spontanées ou utiles. Dès lors, on peut se demander avec justesse si l’humanité ne recherche pas, en même temps que son bonheur matériel, son bonheur dans la vie en commun, le partage et l’amour, son bonheur dans une vie intérieure. Alors, ce n’est pas le capitalisme pur et dur prôné par celui que Reagan, Thatcher et Pinochet admiraient qu’il nous faut mais un capitalisme qui s’insère dans un libéralisme social qui se soucie aussi d’apporter en même temps que le bien être matériel, le vivre bien dans un juste équilibre entre la liberté (et notamment la liberté économique indispensable pour l’organisation économique) et la solidarité, entre l’individualité et l’appartenance à un groupe. C’est donc à vers un libéralisme social qu’il nous faut nous tourner.

La crise financière qui est en train de submerger le monde montre une fois de plus et peut-être une fois pour toute que ce capitalisme ne peut agir sans contrôle et sans règles, surtout qu’il n’est pas de lui-même un système vertueux car composé d’intervenants dont le seul but est de maximiser au-delà de toute morale et de toute honnêteté leurs profits. Point de main invisible qui régulerait naturellement cette jungle d’autant que ces intervenants qui clament haut et fort leur liberté de faire des profits à n’importe quel prix et par n’importe quel moyen se tournent soudainement vers l’Etat et vers la collectivité qu’ils abhorrent avec Friedman et ses disciples pour demander de l’aide quand tout va mal, prompts à clamer leur irresponsabilité. Or le capitalisme ne peut être une organisation d’une économie libérale que si la liberté est contrebalancée par la responsabilité et cette responsabilité doit être contrôlée par la collectivité qui est la même qui assure la liberté. Seul ce contrôle peut éviter les dérapages. Qui plus est, le libéralisme pour permettre à la société d’absorber les chocs de la liberté économique, seule organisation capable d’apporter la richesse, doit être social, c’est-à-dire qu’il doit organiser la solidarité pour aider tous les membres d’une communauté à profiter des fruits de cette liberté économique.

Cette crise montre aussi à l’extrême par l’intervention de l’administration Bush qui se voulait la digne héritière d’un laisser-faire prôné par Ronald Reagan (mais jamais mis vraiment en œuvre par celui-ci…) et d’un désengagement de l’Etats, donc de la société, dans l’économie et le social, qu’une idéologie ne peut tenir devant les faits qui l’invalident. Le risque d’une catastrophe financière qui montre les limites d’une régulation ad minima, voire d’une absence de régulation, a eu raison de toutes les belles théories.

Mais, attention de ne pas se tromper une fois de plus de cible. Cette crise ne démontre absolument pas que le libéralisme est une organisation de la société qui ne marche pas, ni même que le capitalisme en tant qu’organisation de l’économie soit responsable de ce qui arrive. Il démontre en revanche que l’irresponsabilité est toujours la plus dangereuse des positions. La fuite en avant couplée avec l’espoir qu’un miracle impossible ne survienne avant le crash final est tout sauf une posture responsable des acteurs de la finance et des gouvernements.

Et l’on en revient à cet incontournable libéralisme social. Oui, seul ce libéralisme social est économiquement, socialement et politiquement acceptable. Oui, il est la seule organisation de la société qui allie la nécessaire efficacité économique et politique avec la tout aussi nécessaire morale politique qui contrôle l’économie.

Rappelons encore et encore que c’est le libéralisme social qu’il faut défendre comme meilleures organisation de la société et non le social-libéralisme ou le socialisme libéral. Car le seul système qui a jusqu’à présent fait ses preuves dans l’histoire est celui qui produit de la richesse et du bien être avant de le redistribuer. Libéralisme économique parce que la liberté des acteurs économiques est la plus efficace car libérant les énergies. Et cette richesse peu ensuite être utilisée en partie à assurer la nécessaire cohésion sociale par une solidarité à l’intérieur de la communauté.

Un vrai libéralisme social interdit les dérives boursières que l’on connait aujourd’hui mais il ne bride pas l’initiative économique individuelle qui est la seule capable de créer une vraie richesse.

Et seul le Centrisme propose ce libéralisme social. Il faudra bien qu’un jour, au lieu d’élire des partis de droite ou de gauche qui font un ersatz de politique centriste, la fameuse « politique au centre » des politologues, les citoyens mettent au pouvoir le vrai Centrisme. Il est plus que temps lorsque l’on voit les échecs des régimes collectivistes et des régimes de liberté sauvage. N’est-ce pas un beau challenge pour ce XXI° siècle ?

SOURCE : L'éditorial d'Alexandre Vatimbella LE CENTRISME

mercredi 1 octobre 2008

BUDGET, EQUILIBRE EN 2012? ET RELATIONS AVEC L'UMP

Extraits de l'interview de François Sauvadet dans "France soir" du 29/09/2008

Quelle est votre réaction après la présentation du budget ?
François SAuvadet. C’est un budget sincère et responsable. Dans un contexte économique difficile avec une crise financière dont on ne connaît pas précisément l’onde de choc, il faut continuer à faire des efforts pour réduire les dépenses. Mais l’augmentation des déficits est dans le même temps inquiétante. Le groupe Nouveau Centre fera donc des propositions lors des débats à l’Assemblée pour revoir notamment le dispositif d’allègements de charges sur les salaires pour les grandes entreprises.

L’engagement d’un retour à l’équilibre budgétaire en 2012 est-il réaliste selon vous ?Il faut dire la vérité aux Français, ce ne sera pas possible. Ce contexte de crise doit donc nous mener à une réflexion sur le rôle de l’Etat. L’Etat ne peut pas tout faire, il doit devenir à la fois plus léger et plus efficace. En cela, je suis favorable à la fusion des départements et des régions, et à la réunion des communes et des groupements de communes. Je propose aussi de lancer un pacte territorial de services entre les collectivités et l’Etat. Plus les temps sont difficiles, plus il faut continuer les réformes. Pour cela, il faut un vrai dialogue au sein même de la majorité.

Ce dialogue fait-il défaut pour le moment ?
Il existe de manière permanente avec le président de la République et le Premier ministre dont je salue l’écoute. Les députés du Nouveau Centre ne regrettent pas leur choix, nous sommes bien dans la majorité. Il faudrait maintenant progresser au niveau des groupes. J’ai beaucoup d’amitié pour Jean-François Copé, mais l’amitié et la politique, ce n’est pas pareil. Je l’invite donc à travailler en collaboration avec l’autre partenaire de la majorité sur les rapports, les amendements. Il faut mettre un terme à cette méthode de Rappetout consistant pour le groupe UMP à reprendre à son compte les propositions du Nouveau Centre. Partenariat, cela veut dire aussi partage de l’exercice des responsabilités. Nous avons quatre ministres, des présidences de commission au Sénat, il serait normal que le NC assume également une présidence de commission à l’Assemblée.

Jean-François Copé a récemment déclaré qu’il "donnait de sa personne" pour venir à vos journées parlementaires. Comment avez-vous accueilli ses propos ?C’est une expression maladroite et malheureuse. Je n’ai pas envie de la commenter.

Ces journées parlementaires seront l’occasion pour vous d’affirmer l’identité du NC face à un embouteillage de mouvements au centre ?
Je vais mettre des panneaux directionnels : au centre, il y a ceux qui ont fait le choix de l’UMP et du parti unique ; ceux qui ont fait le choix de la gauche et de l’opposition, avec le Modem. Enfin, nous avons fait le choix d’un parti de centre-droit libre et indépendant. L’identité du Nouveau Centre existe, ce n’est pas une construction artificielle. Lors de ces journées parlementaires, où nous avons invité les 14 ministres qui ont fait un dialogue nourri avec notre groupe, nous entendons participer à la réflexion de la majorité. Nous publierons une enquête BVA avec cette question : quel est l’état du moral des Français ? Enfin, nous aurons des tables rondes sur trois sujets majeurs : les mutations économiques, le vieillissement de la population et le pétrole cher.

Propos recueillis par Thomas De Rochechouart

mardi 2 septembre 2008

Généraliser le RSA : un impératif social.



Rénover nos politiques sociales passe par la généralisation du Revenu de Solidarité Active. Le Président de la République, instruit par l’action déterminée de Martin Hirsch sur ce sujet depuis un an, l’a bien compris. Le RSA sera généralisé comme prévu mi 2009. Son coût sera financé par une contribution supplémentaire de 1,1 point sur les revenus de placement et du patrimoine. C’est une bonne décision. Les réactions sur l’opportunité de cette taxe nouvelle sont variées. Certains, dans la majorité, critiquent ce choix, au regard des engagements de réduction des prélèvements obligatoires pris pendant la période électorale. On peut comprendre ces objections. Mais le RSA aussi était un engagement électoral. Par ailleurs, depuis un an, la majorité a déjà opéré un certain nombre d’allègements fiscaux. Instaurer aujourd’hui une contribution qui relève de la solidarité nationale afin de permettre aux personnes exclues du monde du travail d’y revenir durablement, c’est une mesure juste. Posons nous les bonnes questions : est il urgent d’inciter au retour à l’emploi, celles et ceux qui en sont très éloignés ? Est il urgent de rendre le travail réellement rémunérateur, en particulier pour celles et ceux qui occupent des emplois à bas salaires ? Est il urgent de faire diminuer le nombre de travailleurs pauvres ? oui. Le RSA n’est pas une dépense d’assistanat, mais une dépense sociale visant à inciter au retour à l’emploi, et à redonner au travail toute sa valeur, y compris et d’abord en terme de revenu. C’est une allocation attribuée, non pas parce que vous n’avez pas d’emploi, mais parce vous vous engagez à en chercher un, ou parce que vous en avez retrouvé un. Généraliser le RSA, c’est donc un impératif social et une conception renouvelée de la solidarité.

Source : francis Vercamer

TOUT SAVOIR SUR LE "R.S.A"

mardi 19 août 2008

Afghanistan - 19 août 2008 "Une vive et forte émotion"


Le Nouveau Centre, ainsi que ses Députés et Sénateurs, tiennent à exprimer leur vive et forte émotion après la perte tragique des 10 soldats français morts en Afghanistan.

Le Nouveau Centre adresse ses condoléances et témoigne de sa solidarité envers les familles et les proches de ces victimes tout en saluant le courage avec lequel elles ont accompli leur devoir jusqu'au sacrifice suprême.

Le Nouveau Centre souhaite un prompt rétablissement à chacun des 21 soldats blessés en pensant aussi à leurs familles et à leurs proches.

Nous soutenons le Président de la République et le Gouvernement dans leur volonté de continuer de combattre le terrorisme en Afghanistan.

Maurice LEROY,
Député du Loir-et-Cher,
Porte-parole national du Nouveau Centre

vendredi 18 juillet 2008

REFORME DE LA CONSTITUTION



Sur notre blog nous avons souvent évoqué les travaux de la commission BALLADUR. Nous regrettons que la grande réforme annoncée ne soit pas au rendez-vous, mais compte tenu des avancées, les élus du Nouveau Centre voteront en faveur de cette réforme. La partie n'est seulement pas gagnée.

Nous avions des engagements dans ce débat, notamment sur la garantie du pluralisme, la règle d'or de l'équilibre budgétaire, la reconnaissance des groupes politiques au Parlement, l'idée du référendum d'initiative populaire. Le chef de l'Etat nous a entendus. Nous sommes arrivés à un point d'équilibre. Quand nous avons refusé de suivre le chemin de François Bayrou en 2007, c'était parce que nous voulions rendre nos idées utiles à la France.

Mais on ne peut pas aller chercher les 24 élus Nouveau Centre uniquement pour qu'ils votent. Et on ne peut pas considérer qu'un accord à l'UMP en entraîne un avec nous. Ce n'est pas une pratique tenable. Il faut qu'on se parle franchement : on veut être des partenaires de la majorité, pas des godillots.

Il faut organiser un partenariat plus engageant entre nos deux groupes.

Saluons le courage du député du pas-de-calais Jack LANG. Il sera le seul socialiste a voter cette réforme.

Ne pas voter cette réforme, c'est en rester au statu quo. Est-ce satisfaisant ? Non. Avec cette position de refus, la gauche donne finalement l'image de ce qu'elle est : ringarde.

vendredi 4 juillet 2008

INGRID ................LIBRE





Saluons l'unanimité de la classe politique pour se réjouir de sa libération et saluer le role de la France et de son président (sauf Mme ROYAL)

Merci aux nombreux lecteurs qui ont consulté le site "LIBERTAD INGRID" par le lien de notre blog. Nous ne le retirerons pas pour autant. La lutte doit continuer pour tous les autres otages.

jeudi 26 juin 2008

NON AU REMBOURSEMENT A TAUX REDUIT DES MEDICAMENTS DES PERSONNES ATTEINTES D'A.L.D

LA REPONSE FAITE PAR ROSELYNE BACHELOT A LA QUESTION DE J.C LARGARDE LORS DES QUESTIONS AU GOUVERNEMENT EST INQUIETANTE.

La réaction de Jean-Christophe Lagarde (24 juin 2008) :
Jean-Christophe Lagarde, président exécutif du Nouveau Centre et député de Bobigny-Drancy exprime sa totale opposition à la proposition faite par Frédéric Van Roekeghem, directeur de l'Union nationale des caisses d'assurance-maladie, dans une interview accordée au Journal "Les Echos" de ne plus rembourser qu'au taux réduit de 35 % les médicaments complémentaires à une longue maladie actuellement pris en charge à 100 % pour les personnes en ALD (Affection Longue Durée). Le député de Seine-Saint-Denis a interrogé Roselyne Bachelot à ce sujet lors de la séance des questions au Gouvernement. Sa réponse est inquiétante pour l'avenir de la solidarité.

Le directeur de l’UNCAM justifie cette proposition de déremboursements par la volonté de résorber le déficit de la branche maladie en transférant les remboursements vers les mutuelles et assurances privées.
"Ces déremboursements toucheraient plus de 8 millions de nos concitoyens atteints d’une ALD qui verraient alors leur mutuelle majorée. Sans compter que 8% de nos concitoyens les plus défavorisés ne disposent pas de complémentaire et ne bénéficient pas de la CMU. Une telle mesure, conduirait inévitablement à des abandons de soins pour des dizaines de milliers de nos concitoyens au prétexte qu’on considérerait une partie de leur traitement comme des médicaments de conforts" souligne Jean-Christophe Lagarde.

"Notre pays a déjà laissé se constituer des ghettos sociaux, il est inacceptable de laisser aujourd’hui se créer des ghettos sanitaires par le biais d’une telle mesure" a conclu le Député-Maire de Drancy.

vendredi 13 juin 2008

GROGNE CHEZ LES CENTRISTES DE L'UMP






La décision que nous avons prise il y a deux ans de quitter l'U.M.P4ème62 pour rejoindre le NOUVEAU CENTRE et soutenir l'action de Nicolas SARKOSY, était la bonne à voir le mal-être de certains de nos amis centristes restés à l'U.M.P.
L'UMP est confrontée au mécontentement de formations et clubs de réflexion associés, qui lui reprochent de ne pas assez prendre en compte les différentes sensibilités du parti et de se replier sur l'ancien RPR. La ministre du logement Christine Boutin, issue de l'UDF et présidente depuis 2002 du Forum des républicains sociaux (8.000 adhérents revendiqués), a saisi l'occasion d'un conseil national de son parti, samedi, pour passer à l'attaque. L'UMP "est en train de redevenir un parti replié sur lui-même", a-t-elle lancé. "Si l'UMP reste l'expression unique de l'ancien RPR, elle fera 15-17% aux élections européennes et régionales", a-t-elle mis en garde. Des parlementaires issus de l'UDF, qui ont rejoint l'UMP en 2002, ont eux aussi des revendications. C'est le cas de Claude Goasguen et Hervé de Charette, co-dirigeants du club de réflexion "Convention démocrate", qui veulent l'instauration de courants au sein de l'UMP. "Il faudrait que l'UMP se souvienne qu'elle n'est pas que le RPR", souhaite M. Goasguen. "Les colloques et les groupes de travail tout préparés n'inciteront pas les gens à venir adhérer", a-t-il déclaré à l'AFP. "Il faut que ce parti soit beaucoup plus vivant". MM. de Charette et Devedjian se sont récemment affrontés, par voie de presse interposée. Le premier a reproché au second sa "présidence brejnévienne" à la tête d'une UMP "RPRisée". "Les militants UMP désertent nos permanences. Il y a un vrai malaise dans ce parti", a affirmé le député du Maine-et-Loire. "Je connais le prix des états d'âme de M. de Charette, il est de 600.000 euros!", a répliqué M. Devedjian, évoquant le montant de la subvention refusée par l'UMP à la "Convention Démocrate". De son côté, le Parti radical (10.000 adhérents revendiqués), présidé par le ministre d'Etat Jean-Louis Borloo et qui compte 24 députés et sénateurs, affirme avoir "une série de particularismes" qui lui évitent ce "problème existentiel", selon son président d'honneur, André Rossinot. "Je souhaite aussi qu'on joue toutes les sensibilités de l'UMP, parti de la droite républicaine et du centre, dans sa complexité", souligne-t-il cependant.

LE "NON" IRLANDAIS !


Alors que 18 pays dont la France ont d’ores et déjà ratifié le Traité de Lisbonne, une majorité d’Irlandais vient aujourd’hui de le refuser. Pour les européens c’est un moment de tristesse, et pour nous, suite à l’élan européen né du Traité de Lisbonne une grande déception. Parce que le Traité de Lisbonne, obtenu notamment grâce à l’engagement de Nicolas Sarkozy et d’Angela Merkel, constitue une réponse appropriée à l’échec de la "constitution européenne" en 2005, il donne une impulsion nouvelle à l’Union européenne.


Le "non" Irlandais ne saurait nous amener à une dégradation de notre ambition européenne, mais nous invite au contraire à continuer le chemin de l’Europe à partir d’idées et de sujets concrets comme ceux de l’environnement, de la lutte contre l’immigration clandestine ou encore de la défense. Dans ce scrutin qui révèle un faible taux de participation, le choix d’une partie des Irlandais nous conduit à être davantage les ambassadeurs de l’Europe, et nous oblige à déployer notre énergie pour défendre les principes d’une Europe politique indispensable. Le "non" Irlandais est une exigence à plus d’Europe et une invitation à construire l’Europe que veulent les citoyens européens.

L’Europe est la plus belle de nos ambitions politiques. Nous, centristes, sommes les héritiers de la tradition européenne, libérale et démocrate chrétienne. Plus que jamais, alors que se constituent de très grandes puissances, Etats-Unis, Chine, Inde ou Brésil, nous affirmons que les nations européennes ne pourront rien sans l’Union. Plus que jamais, notre Union a besoin de règles pour garantir aux Européens la sécurité qu’ils sont en droit d’attendre, plus que jamais notre Union doit relancer l’esprit de conquête sans lequel nous n’aurions plus de destin.

Si nous enregistrons le choix d’une majorité d’Irlandais, nous appelons à respecter celui fait par les 18 pays ayant déjà ratifié le traité de Lisbonne, et demandons que le processus de ratification dans les autre pays soit respecté et puisse aller à son terme.


source : hervé MORIN

jeudi 12 juin 2008

LES NOMADES VONT ARRIVER MAIS LES AIRES D'ACCEUIL SE FONT RARES

Cinq missions évangéliques d'une semaine sont prévues dans la région d'Étaples - Le Touquet - Cucq cet été. La première arrive le 6 juillet.

Mais ou?

Le projet d'aire de grand passage à Étaples est complètement remis en question.

Les endroits qui accueillaient régulièrement les nomades ces dernières années ne sont plus disponibles.

Joaquin Jourd'hui, directeur de la communauté de communes Mer et Terre d'Opale (CCMTO) indique dans les colonnes de La voix du Nord, que l'ancien camping municipal à la pointe Nord du Touquet ne peut plus être retenu. « C'est un site classé. L'État n'est plus favorable à ce qu'on y accueille des nomades » indique t- il .

Il ne reste finalement que deux endroits pour accueillir les missions évangéliques :

- l'espace Nouveau Siècle au Touquet, près du collège en construction.
- le terrain de tir à l'arc à Cucq.


Il est plusque temps que la C.C.M.T.O se mette en règle par rapport à la loi BESSON.

Mais n'est-il pas déja trop tard pour obtenir les aides de l'état?

LES TOUQUETTOIS NE RENCONTRERONS PLUS CETTE ANNEE DE TELLES DEJECTIONS AU PARC DE L'ESTUAIRE!

SARKO CHERCHE A SE FAIRE PLAINDRE




"Moi, je suis obligé de tout faire moi-même, sinon ça n'avance pas. Si ça ne marche pas, c'est moi qui en prends plein la gueule; et si ça marche, c'est toujours les autres qu'on remercie."
C'est trop injuste. Mais Sarko a des exemples de mauvais traitements qu'on lui fait subir.
"Prenez la nouvelle maire UMP de Calais. Tout le monde dit qu'elle avait conquis ce bastion communiste grâce à ses qualités. On a oublié que j'y étais aussi pour quelque chose! Je suis allé quinze fois à Sangatte et elle a gagné aussi grâce à cela"
Sarko feint d'ignorer que, depuis la fermeture de Sangatte, des centaines d'immigrés clandestins errent toujours dans les rues et dans les environs de Calais.
Mais c'est peut-être la faute à Fillion....



Source : Article paru dans le Canard Enchaine du 28 mai 2008

mardi 20 mai 2008

A16 : DEJA 10 ANS !





Le vendredi 15 mai 1998, vers 8 h, le tronçon Abbeville - Boulogne-sur-Mer de l’autoroute A 16 ouvrait ses portes aux automobilistes.



La décision de construire une autoroute reliant l’Isle-Adam (Val-d’Oise) et Bray-Dunes (Nord), en partenariat avec les Régions concernées et l’État, a été prise dans les années 80. Dès le milieu des années 80, l’action de l’association Autoroute de la Côte d’Opale, présidée par L. Deprez, alors député-maire du Touquet, a consisté à accélérer la construction de la tranche entre Abbeville et Boulogne-sur-Mer (les portions L’Isles-Adam - Amiens et Boulogne-sur-Mer - Bray-Dunes ayant été les premières réalisées). En 1987, Pierre Méhaignerie, ministre des Transports, a annoncé le classement de la section Amiens - Boulogne au sein du réseau autoroutier français. Le tracé a été arrêté en 1989. Les négociations iront alors bon train pour permettre à l’A 16 de traverser les communes. La validation en 1992, par le conseil d’État, de la déclaration du tracé Amiens - Boulogne en utilité publique va accélérer ce processus, n’empêchant pas d’importants mouvements de protestation dans le Montreuillois pour des motifs environnementaux. Quatre ans plus tard, après des travaux gigantesques, le Montreuillois avait son autoroute.

Source : La voix du Nord

LE NOUVEAU CENTRE : LE PARTI DE LA VERITE ET DE L'ESPOIR



Quand le prix du litre d’essence dépasse 1,40€, cela implique pour le plus grand nombre une sérieuse révision du mode de vie : aller au travail, amener ses enfants à l’école, rendre visite à sa famille, prendre des vacances. C’est tout cela qui devient chaque jour plus coûteux. Que penser ? Faut-il renoncer à circuler ? Mais quand le pain, le lait ou le beurre deviennent plus chers, faut-il renoncer à se nourrir ? Et quand l’accès à la propriété devient plus difficile, parce que le prix du m2 est aberrant ou parce que les taux d’intérêt sont dissuasifs, faut-il renoncer à devenir propriétaire ? Faut-il renoncer à fonder une famille ?
Voilà non seulement ce que voient mais plus encore ce que vivent nos compatriotes aujourd’hui. Dans ce contexte, quel mot les Français peuvent-ils aimer entendre pour être rassurés ? Quelle idée peut les aider à comprendre ce que devient leur monde, à comprendre ce qui leur arrive, pour entrevoir l’espoir de lendemains meilleurs ? Quelques démagogues promettront le retour à l’Etat omniscient et omnipotent. D’autres, souvent les mêmes, à droite comme à gauche, promettront une nation barricadée, fermée au monde, d’autres encore ne voudront pas mentir mais choisiront de se taire. Alors, qui dira la vérité ? Voilà donc notre ligne d’horizon : dire la vérité, soutenir une politique de la vérité.
La vérité c’est de dire que la France décline tranquillement mais sûrement depuis 25 ans ; la vérité c’est rappeler que nous avons un taux de croissance inférieur à la moyenne des pays européens depuis 25 ans ; la vérité c’est de dire que nos régimes de retraites ne sont pas financés sur le long terme ; la vérité c’est de dire que notre système universitaire et de recherche innove moins, crée moins de brevets ; la vérité c’est de dire que le moteur de l’égalité des chances n’est pas reparti comme il aurait du repartir après la crise des banlieues ; la vérité c’est que notre économie souffre d’un déficit de compétitivité ; la vérité c’est que chaque année 150.000 jeunes sortent du système éducatif en situation d’échec scolaire ; la vérité c’est que notre taux d’emploi des gens de plus de 50 ans est parmi les plus faibles d’Europe et je pourrais continuer comme cela longtemps, trop longtemps.
Mais la vérité c’est que nous avons aussi tout pour réussir ; une main d’œuvre productive et des cadres ingénieux ; un environnement et une situation géographique exceptionnelle, des infrastructures remarquables, des paysages, une histoire, des secteurs économiques où nous sommes parmi les meilleurs sinon les meilleurs.
Notre pays qui a été capable de créer après la seconde guerre mondiale, le TGV, Airbus, les secteurs industriels majeurs où nous sommes parmi les premiers : l’industrie automobile, le nucléaire, le luxe, l’environnement, la sidérurgie, la pharmacie, l’industrie d’armement et bien d’autres secteurs encore. Il n’y a aucune raison qu’un pays qui a su se hisser aussi haut dans la compétition mondiale, avec autant de réussite, ne soit pas capable de relever le gant de la concurrence et de la compétition mondiale. La France serait-elle définitivement en cale sèche ?
Telle est la crise actuelle. Dans un moment historique d’une importance peut-être sans précédent, les Français doutent de leur destin et leurs gouvernants,n’ont rien d’autre à leur proposer que des réformes qu’ils jugeront le plus souvent amères. La ligne est ingrate mais il faut la tenir. Et d’ailleurs dire qu’il faut s’adapter, changer, se réformer en l’annonçant et en le disant haut et fort, est de notre responsabilité.

Soyons le parti de la responsabilité, soyons le parti de la modernité !

Source : extrait du discours de cloture d'Hervé MORIN lors du congrés de NIMES.

mercredi 30 avril 2008

Le blog n'est pas en panne, mais un heureux événement familial n'a éloigné de mes réflexions centristes. A trés bientot. Michel CAPELAIN

mercredi 16 avril 2008

VALERIE LETARD : la ministre " CH'TI "




Hier soir, elle était à l'Elysée pour la projection de "Bienvenue chez les Ch'tis". La plus discrète des membres du gouvernement assure qu'il y a une manière ch'ti de faire de la politique. Elle explique laquelle.

C'EST UNE "fille qui ne perd pas le Nord", comme elle dit. Née il y a quarante-cinq ans à Orchies (Nord), Valérie Létard, secrétaire d'Etat à la Solidarité, revendique d'être "une ministre ch'ti".

Qu'est-ce que ça veut dire, être "une ministre ch'ti" ?
Ça veut dire être solidaire face aux difficultés, avoir du tempérament, des convictions, et le sens de la loyauté.

Vous avez aimé le film ?

Oui, c'est un film très juste et je m'y suis beaucoup amusée. Ça m'a rappelé quand j'ai débuté dans le Nord comme assistante sociale. Je faisais des visites à domicile comme les personnages du film. Quand on me proposait un verre de genièvre, j'optais plutôt pour le café !

Y a-t-il une manière ch'ti de faire de la politique ?

Face à la difficulté, nous savons nous rassembler et rebondir. Il y a un temps pour le débat politique, et un temps pour se retrouver autour d'un projet. Je viens d'être élue présidente de Valenciennes Métropole (la deuxième communauté d'agglomération la plus peuplée de la région Nord-Pas-de-Calais qui rassemble 200 000 habitants et 36 communes) avec 83 % des voix. Il y avait un candidat de gauche, mais les communistes et les socialistes ont voté pour moi, ce qui nous permet de construire un exécutif pluriel.

Etes-vous en train de prendre la place de Jean-Louis Borloo ?

Jean-Louis est toujours élu à Valenciennes. C'est un passage de témoin. En politique, c'est une façon de faire qui est assez rare...

Avez-vous aussi envie de prendre la place de Xavier Bertrand, votre ministre de tutelle ?
Il m'a déjà fallu beaucoup d'énergie pour qu'il ne prenne pas la mienne ! Nous ne nous connaissions pas. Il nous a fallu apprendre à travailler ensemble.

Qui a mis de l'eau dans son vin ?

On va dire que Xavier en a mis un peu. Moi j'en mets toujours, j'adore jouer en équipe.

On parle beaucoup de Rachida Dati, Rama Yade, Nathalie Kociusko-Morizet, mais pas de vous. Pourquoi tant de discrétion ?
Ce qui m'importe est d'être entendue sur mes dossiers. C'est chose faite. La solidarité, le droit des femmes, le handicap, la maladie d'Alzheimer, Valenciennes sont les fils conducteurs de mes interventions.

Avec vous, jamais de couacs gouvernementaux. Etes-vous plus disciplinée que les autres ?
Quand j'ai un problème, j'ai tendance à le régler en tête à tête, plutôt qu'à travers les médias.

Source : interview LE PARISIEN

lundi 14 avril 2008

COMITE DE LIAISON DE LA MAJORITE et ELECTIONS EUROPEENNES



Nicolas SARKOZY a pris acte du refus d'une super U.M.P de la part du NOUVEAU CENTRE.

Lors d’une conférence de presse, jeudi 10 avril, Hervé Morin, président du Nouveau Centre, André Santini, président délégué et François Sauvadet, président du groupe Nouveau Centre à l’Assemblée nationale ont annoncé qu’ils approuvaient par contre la création d'un comité de liaison de la majorité, précisant que le Nouveau Centre conservera toute son indépendance.

Ils ont également déclaré que le Nouveau Centre présentera des listes autonomes aux prochaines élections européennes et régionales.

"Ce comité de liaison de la majorité, une structure informelle, souple, non fédérative", a expliqué Hervé Morin, "permettra, en amont, un dialogue entre l'UMP, le Nouveau Centre et les autres formations de la majorité sur des questions politiques liés à l'agenda parlementaire, et des questions plus structurelles sur les élections à venir, les modes de scrutin, la réforme institutionnelle".

"Il faudra que ce comité trouve son prolongement au Parlement", a déclaré François Sauvadet, "comme je l’ai proposé à Jean-François Copé, chef de file des députés UMP. Autrement dit qu’il y ait des échanges régulièrement entre les bureaux des deux groupes".

"Nous devons prouver notre existence et notre indépendance, et en même temps notre sens de l'union", a précisé André Santini.

Par ailleurs, Hervé Morin a annoncé que le Nouveau Centre veut "présenter des listes autonomes aux prochaines élections européennes et régionales ".

Lors du dernier comité exécutif du Nouveau Centre, il a été a décidé de "regarder quelles pourraient être nos têtes de listes dans les huit circonscriptions européennes. Pour les régionales, nous allons aussi déterminer nos têtes de liste assez rapidement".

"Notre parti politique occupera pleinement sa place dans l’espace politique français, dans ces moments de confrontation électorale. "

source : site officiel N.C

mercredi 9 avril 2008

EGALITE A L'ACCES AUX SOINS ET REDUCTION DES DEFICITS


Dans sa dernière lettre mensuelle, en date du 8 avril, l’IRDES (Institut de Recherche et Documentation en Economie de la Santé) nous livre les résultats de son enquête sur la Santé et la protection sociale en 2006.
Encore une fois ce sont les ménages aux revenus les plus faibles qui se déclarent les plus en mauvaise santé, les moins bien couverts en complémentaire santé et les plus obliger à renoncer aux soins faute d’argent !
En moyenne, 1 Français sur 7 déclare ainsi renoncer aux soins pour raisons financières. Ils sont 1 sur 4 dans les tranches de revenus les plus bas. Ce renoncement concerne tout d’abord les soins dentaires, puis les lunettes et les soins de spécialiste. Ce sont, bien entendu, ceux qui ne peuvent accéder à une couverture complémentaire qui sont les premières victimes.
Notre pays s’installe doucement mais sûrement dans une médecine à deux vitesses. C’est d’autant plus vrai que cette étude de l’IRDES a été réalisée avant l’instauration de nouvelles franchises de soins le 1er janvier dernier…
L’accès aux soins devient donc inégalitaire.
La réforme de la protection sociale dans le domaine de la santé est indispensable, on le sait. Le vieillissement de la population, l’augmentation de l’espérance de vie, les progrès de la médecine, du médicament et des dispositif médicaux vont augmenter irrémédiablement les dépenses. La médecine ne cessera pas d’améliorer les conditions de vie de nos concitoyens : laissera-t-on des français exclus de toutes ces avancées pour des raisons financières ? Voici la première question à laquelle il faut répondre.

MAIS IL EST IMPERATIF DE REDUIRE LES DEFICITS

Le ministre du Budget et des Comptes publics envisage 10 milliards d'euros d'économies par an sur les dépenses publiques de 2009 à 2011. La Sécurité sociale doit participer à cet effort à hauteur de 5 milliards d'euros environ. Eric Woerth a visé les dépenses de médicament, les coûts de gestion du système et un déport des dépenses de la Sécu vers les complémentaires!!!!!!!!


Pas de nouveaux prélèvements. Où trouver tous ces milliards pour combler les déficits?
Pour Yves Bur, député UMP rapporteur de la partie Recettes du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), Eric Woerth n'a fait que relayer en début de semaine «la philosophie actuelle du gouvernement selon laquelle, en période de croissance modeste, il ne faut pas l'affaiblir encore avec des prélèvements supplémentaires». Toutefois, le député du Bas-Rhin estime qu'«il ne serait pas anormal de faire appel aux Français pour éponger la dette sociale car rembourser une cinquantaine de milliards d'euros, ce n'est pas une mince affaire!».
Quoi qu'il en soit, Eric Woerth mise clairement sur des coupes claires dans les dépenses au moyen d'un «plan de financement de la Sécurité sociale d'ici à 2009», qui sera présenté conjointement par lui et la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, «avec le Premier ministre». Ce plan «impliquera des économies: économies portant sur le médicament, économies de gestion de l'ensemble du système, réforme sur la manière de rembourser aujourd'hui un certain nombre de soins, et l'organisation des soins et surtout e l'hôpital en remédiant au gaspillage en matière de médicaments.
Les complémentaires sollicitées. Quant à la réforme des modes de remboursement, elle renvoie au nouveau partage des dépenses entre Sécu et organismes complémentaires, conformément au voeu formulé par le président Sarkozy en septembre 2007. La ministre de la Santé elle-même avait déjà évoqué une «loi sur le financement de l'assurance-maladie peut-être au premier semestre 2009», permettant de déplacer le curseur entre la prise en charge de la Sécu et celle des complémentaires santé en particulier via une révision du périmètre des affections de longue durée (ALD). Il faut en matière de financement de la santé, «un vrai débat car, au final, ce sont toujours les Français qui payent». Or ce qu'ils consacrent au coût de leur complémentaire «n'est pas dépensé à autre chose» et entame encore d'autant leur pouvoir d'achat…


Soure :Claude Leteurtre (député N.C)
Le quotidien du médecin

mardi 1 avril 2008

VALERIE LETARD, secrétaire d'état à la solidarité, soutient le député-maire de Lens.

Valérie Létard, secrétaire d’Etat à la solidarité, 1ère adjointe au Maire de Valenciennes et Conseillère Régionale du Nord-Pas-de-Calais exprime sa profonde indignation suite au déploiement d’une banderole injurieuse par quelques supporteurs lors du match Lens- Paris Saint Germain.
Elle apporte son entier soutien au député-maire de Lens et aux dirigeants du RC Lens dans leur dépôt de plainte et souhaite que des sanctions sévères et exemplaires soient prises à l’encontre des auteurs de cette action déplorable.
Les habitants du Nord-Pas-de-Calais ont été blessés par les expressions utilisées qui traduisent tout à la fois le manque de respect et la bêtise humaine.
Tout doit être fait pour que des actes semblables ne soient ni renouvelés, ni tolérés.


Nicolas SARKOZY a d'ailleur reçu ce jour, Guy Delcourt (député-maire de Lens), Gervais Martel et J.P.P.

lundi 31 mars 2008

BANDEROLE DU STADE DE FRANCE : REACTION DES JEUNES CENTRISTES DU NORD-PAS-DE-CALAIS






Vincent Perrier-Trudov, président des Jeunes Centristes du Nord-Pas-de-Calais, réagit au sujet de la banderole déployée par les hooligans du PSG lors de la finale de la Coupe de la Ligue.

C'est la banderole, l'incident de trop. Lors de la finale de la Coupe de la Ligue, à Paris, le Kop de Boulogne a déployé une banderole de 30m sur laquelle était inscrit: "Pédophiles, chômeurs, consanguins : Bienvenue chez les Ch'tis". Quelques jours à peine la condamnation du FC Metz suite aux insultes racistes visant Ouaddou, joueur de Valenciennes, la bêtise reprend ses droits.

On ne peut que se féliciter de la réaction rapide du président de la République, qui a immédiatement exigé le retrait de cette banderole. Mais on ne peut s'en contenter. Rien n'y fait : les opérations de sensibilisation auxquelles les joueurs participent de manière unanime, les événements organisés contre le racisme et la violence dans les stades, les inscriptions sur les maillots ds joueurs. Rien.

Faire rejouer le match, accorder la victoire à Lens, de la même manière que retirer un point au FC Metz sont des mesures qui cherchent à toucher les spectateurs de manière symbolique, mais qui ne s'appliquent pas directement aux fauteurs de troubles. Et c'est bien là leur faiblesse.

Le temps de la prévention et de l'éducation doit désormais laisser la place à celui de la sanction. Il y a tout ce qu'il faut de caméras et de vidéos dans un stade pour repérer ceux qui jettent des briquets sur les joueurs ou des canettes sur les arbitres. Les auteurs de cris de singe et autres insultes peuvent être eux aussi parfaitement identifiés. Et en cas de besoin, on peut parfaitement renforcer ces moyens de surveillance.

A la sortie du stade, il suffit de les interpeller, un par un, et d'appliquer les lois qui existent, avec la plus grande fermeté. Les britanniques, qui étaient connus, il y a quelques années, pour avoir le public le plus violent d'Europe, ont réussi à mettre de l'ordre dans leurs stades. Il n'y a pas de raison pour que nous n'y parvenions pas. Mais il va falloir montrer beaucoup plus de volonté politique.

vendredi 28 mars 2008

IL FAUT DIRE LA VERITE AUX FRANCAIS.




Suite à la publication ce matin des chiffres de l’Insee concernant les déficits publics de la France pour 2007 et les chiffres de la croissance française au 4ème trimestre 2007, Charles de Courson, porte-parole du Nouveau Centre sur les questions budgétaires, appelle le gouvernement à la prudence et à la vigueur dans la gestion des finances publiques.
Le déficit public a atteint 2,7% du PIB en 2007, soit 0,3% de plus que les prévisions du gouvernement. Cette situation est due en partie à une économie globale moins favorable que prévue, due à la récession américaine et aux dérapages des finances des collectivités territoriales.
Lors de l’élaboration du projet de loi de finances pour 2008, le gouvernement a bâti le budget 2008 sur une hypothèse de croissance de 2,25%. Compte tenu de la dégradation de la situation économique mondiale depuis l’été dernier, le Nouveau Centre regrette de ne pas avoir été suffisamment entendu à l’automne lorsqu’il invitait le gouvernement à retenir l’hypothèse de 1,8%. En révisant à la baisse son hypothèse de croissance, le gouvernement donne raison a posteriori à notre analyse initiale.
Dans ce contexte économique difficile, il faut dire la vérité aux Français. L’heure est à la prudence en matière de gestion de nos finances publiques. La priorité est au désendettement du pays : ne dépensons pas l’argent que nous n’avons pas au risque d’endetter le pays et de faire porter le poids de cette dette sur nos enfants et nos petits enfants.

Ainsi, le Groupe Nouveau Centre a déposé en janvier une proposition de loi constitutionnelle relative au retour à l’équilibre des finances publiques à l’horizon 2012.

L’heure est à la vigueur dans la gestion des finances, le gouvernement peut compter sur le Nouveau Centre dans sa volonté réformatrice : nos voix ne lui manqueront pas pour réussir les réformes qui permettront de redresser la situation économique, sociale et financière de notre pays, et ainsi de retrouver le chemin de la croissance.

La campagne électorale terminée, ou presque (communauté de communes....), le travail des militants ne doit pas s'arrêter. C'est même maintenant qu'ils ont un grand rôle a jouer. Nous devons expliquer autour de nous que chaque français doit s'interroger avant de revendiquer pour son petit confort personnel. LA FRANCE n'a plus les moyens de satisfaire toutes nos revendications. A moins que les Français ne décident une fois de plus de faire payer l'ardoise par nos enfants et petits enfants.

LE NOUVEAU CENTRE 4ème62 veut relayer sur le terrain le discours tenu par nos ministres et députés a Paris.



Sources :Charles de COURSON

mardi 25 mars 2008

LE NOUVEAU CENTRE A CONFIRME A FRANCOIS FILLON, QUE NOUS SOMMES DES PARTENAIRES EXIGEANTS, LIBRES ET ENGAGES.

Michel HUNAULT député NOUVEAU CENTRE de LOIRE ATLANTIQUE a intérrogé Bernard KOUCHNER au sujet des violences au TIBET.


POINT PRESSE HEBDOMADAIRE
Lors de son point presse hebdomadaire, LE NOUVEAU CENTRE souhaite que la réforme soit davantage perçue par les Français comme une chance.
Nous avons demandé un mode d'organisation dans la majorité beaucoup plus équilibré.
"J'invite les parlementaires de l'UMP à nous suivre beaucoup plus souvent et nous souhaitons que le calendrier des réformes soit clair", a indiqué François Sauvadet.

Par ailleurs, "au sujet des relations entre les pouvoirs exécutif et législatif, nous ne souhaitons pas comme Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée, une coproduction entre parlement et gouvernement, mais nous souhaitons un partenariat. Il appartient à l'Exécutif d'assumer ses responsabilités exécutives, il appartient au parlement d'assumer ses fonctions parlementaires", a-t-il précisé également.

mercredi 19 mars 2008

PIERRE APRES PIERRE LE NOUVEAU CENTRE RECONSTRUIT LA MAISON UDF !




Au lendemain des élections municipales et cantonales, le Nouveau Centre est le seul parti politique qui peut revendiquer l’héritage de l’UDF grâce à ses 2500 élus. Avec un groupe parlementaire constitué à l’Assemblée nationale, des sénateurs, des groupes constitués dans de nombreux conseils régionaux, des députés européens, et maintenant des maires, des maires adjoints, des conseillers municipaux, et des conseillers généraux, le Nouveau Centre peut porter le message du centre et du centre droit dans la vie politique française.

La majorité a repris quatre villes à la gauche, dont Agen grâce à Jean-Dionis du Séjour, et Châtelleraut grâce à Jean-Pierre Abelin. Outre les 30 maires Nouveau Centre élus ou réélus dans les villes de plus de 3500 habitants, le Nouveau Centre se félicite d’avoir participé à la victoire de tous les maires Modem élus, puisqu’ils l’ont été dans le cadre d’une alliance avec la majorité présidentielle.

Les élus, les sympathisants, les militants du Nouveau Centre savent où ils habitent : la maison UDF, celle du centre et du centre droit de la vie politique française. Cette maison dynamitée par la logique destructrice de François Bayrou, le Nouveau Centre la reconstruira pierre après pierre.


Le Nouveau Centre,4ème62 se félicite aussi de la nomination de Christian Blanc au gouvernement.
En confiant a cette personnalité unanimement appréciée pour ses qualités de réformateur, de gestionnaire et d'homme de dialogue le délicat dossier du développement de la région capitale, le président de la République et le premier ministre ont fait un choix prometteur pour l'avenir de l'Ile-de-France.
Avec quatre de ses membres au Gouvernement, le Nouveau Centre s'affirme un peu plus comme un acteur central des reformes engagées au service des Français.
Christian Blanc apportera à la région Ile-de-France sa connaissance de la région capitale où il a exercé d'importantes responsabilités; il fut notamment Préfet de Seine et Marne et Président de la RATP. Il apportera aussi son expérience dans le monde de l'entreprise; il dirigea Air France.

Dans notre circonscription, le NOUVEAU CENTRE 4ème62 qui n'a pas pris part aux élections, est très inquiet pour le symbole fort qu'est le basculement de Berck, à gauche. Avec Jean-Marie Krajewski et Vincent Léna à la mairie, un pôle d’opposition au député UMP Daniel Fasquelle va s’organiser dans la 4e circonscription avec des nouveaux soutiens venant de Beaurainville, Auxi-le-chateau et Frévent ou Roger Pruvost, le suppléant du député doit se sentir bien seul au bout de notre circonscription.


Source : Philippe Vigier,Député N.C d’Eure-et-Loir et site officiel.

jeudi 6 mars 2008

LE NOUVEAU CENTRE QUI EST OPPOSE AU CUMUL DES MANDATS CONTINUE A TRAVAILLER POUR LA FRANCE PENDANT LA CAMPAGNE DES MUNICIPALES



Pendant que l’assemblée nationale a donné congé a ses députés pour s’occuper de la campagne électorale des municipales, le groupe NOUVEAU CENTRE est le seul a continuer a faire des propositions au gouvernement et a s’inquiéter de la situation actuelle.

Loin des spéculations politiciennes de salons qui masquent l’absence de propositions alternatives, Nicolas Sarkozy a réaffirmé clairement que notre objectif prioritaire était la mise en œuvre du projet que l’ensemble de la majorité a proposé aux Français en juin dernier.
Nous sommes fiers au Nouveau Centre de l’action entreprise depuis 9 mois aux côtés du Président de la République et du Premier Ministre parce qu’elle est utile pour la France et pour les Français."

François Sauvadet, président du groupe et les députés Nouveau Centre rappellent que le pouvoir d’achat des retraités reste pour eux un sujet de préoccupation notamment en ce qui concerne les retraites les plus faibles et les pensions de réversion.

Si les personnes bénéficiant du minimum vieillesse ont vu leur pouvoir d’achat diminuer, les députés Nouveau Centre rappellent que cette dégradation est le résultat de l’accélération de l’inflation depuis la fin 2007 mais surtout des retards accumulés, année après année, dans la revalorisation de leurs pensions.

Lors d’une séance de questions au gouvernement au mois de janvier, Xavier Bertrand, en réponse à une question de Charles de Courson, député Nouveau Centre de la Marne, avait rappelé que les engagements pris pendant la campagne présidentielle seront tenus ; à savoir un objectif fixé à 25% d’augmentation pour les petites retraites pendant la législature. Il avait aussi annoncé la revalorisation des pensions en cours d’année 2008 au-delà des 1,1% du 1er janvier.

Le groupe Nouveau Centre demande au gouvernement, au-delà de cet engagement qui doit être tenu, de revaloriser très rapidement le minimum vieillesse mais aussi de prendre en compte dans cette revalorisation le minimum contributif et les pensions de réversion. Il serait juste que les pensions soient revalorisées chaque année du montant de l’inflation.




Suite aux différents remous politico-médiatiques ayant accompagné l’éclatement du scandale de la rémunération de Denis Gautier-Sauvagnac, président de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (IUMM), Damien Abad, président des Jeunes Centristes, appelle à une "plus grande transparence" de la vie économique et sociale française.
Sans remettre en cause le modèle de démocratie libérale, le mouvement jeune du Nouveau Centre considère néanmoins qu’il faut être à l’avenir plus "vigilant" à l’égard d’opérations financières de ce genre.

Le caractère choquant et immoral de cette affaire a en effet "bouleversé un grand nombre de Français".

L’État, sans entraver la liberté d’entreprise, se doit d’exercer son contrôle de façon plus soutenue afin de réduire à néant ces pratiques inacceptables.

Mieux qu’une force d’appui le Nouveau Centre est une force de propositions. Localement, il dirige de grandes villes, des villes moyennes, des départements. A l’Assemblée comme au Sénat, nous sommes une force de propositions, comme sur les franchises médicales, les retraites. Nous avons avancé des propositions concrètes. Charles de Courson et Philippe Vigier (qui fut invité par D.FASQUELLE a un débat ou le NOUVEU CENTRE 4ème62 ne fut pas invité) ont proposé que l’on supprime les niches fiscales en France pour augmenter les petites retraites qui en ont vraiment grand besoin... Ce n’est pas encore passé, mais quelque chose nous dit qu’après les élections municipales, le Nouveau Centre sera encore mieux entendu. Dans le projet de loi que nous allons voir en mars ou avril sur la modernisation de l’économie, nous nous réjouissons que l’on réduise les délais de paiement pour les très petites entreprises et les petites entreprises : c’est vital pour elles!

Charles de Courson est l’auteur d’une proposition de loi pour le retour à l’équilibre des finances publiques.
Cette proposition de loi vise à inscrire dans la Constitution française l’impossibilité de présenter au Parlement une loi de finances déficitaire sur les dépenses de fonctionnement.
Que cette loi soit constitutionnelle permettra de faire de cette exigence une règle d’or.
Les parlementaires n’ont pas voté un budget en équilibre depuis vingt-huit ans !
La dette a atteint 1 200 milliards d’euros, et le remboursement de ses intérêts absorbe plus des trois quarts de l’impôt sur le revenu !
Autant on peut accepter l’idée de s’endetter pour les investissements, autant il est inacceptable de l’être sur les dépenses de fonctionnement.

Quelles seraient les conséquences de l’adoption de cette loi ?
Prenons l’exemple de l’Allemagne, qui l’a fait avant nous : réduire son déficit a été un accélérateur de croissance.
Cela lui a permis de réorienter la dépense publique, pour la rendre plus efficace et plus utile, donc de prélever moins – ce qui dopera au passage le pouvoir d’achat !

Quels sont les effets de ce déficit sur l’économie française ?
C’est comme si nous étions engagés dans une course, à la compétitivité et à la croissance, en ayant deux boulets aux pieds : à l’un, les déficits publics, à l’autre, une dette qui a crû considérablement.
D’ailleurs, la Commission européenne nous demande d’engager un effort d’assainissement et de maîtrise de la dépense publique.

Alors que faut-il faire ?
Le déficit de fonctionnement est de l’ordre de 22 milliards d’euros sur un déficit global de 43 milliards (investissements compris).
Nous avons donc 4 à 5 milliards d’économie à faire par an pour parvenir à l’équilibre budgétaire en dépenses de fonctionnement en cinq ans, ce qui est notre objectif.
Il faut mettre en œuvre dès aujourd’hui une revue générale des dépenses publiques et une réforme de l’État.
La réforme de la carte judiciaire est un premier pas, il faut poursuivre vigoureusement, en impliquant particulièrement les collectivités locales – elles représentent 90 à 92 milliards sur les 370 milliards du budget de l’État !

Quelles seront les conséquences de l’adoption de cette loi pour le contribuable français ?
Une conséquence évidente sera la baisse des prélèvements obligatoires.
Réduire le déficit aura des conséquences aussi pour nos enfants, auxquels on ne peut pas laisser une telle dette.
Nous devons en assumer la responsabilité.
Les Français perçoivent trop souvent la réforme comme une menace, or c’est notre seule chance, on ne peut pas rester dans cette situation. Sinon nous allons au-devant de décrochages de notre pays dans la compétition internationale, alors que nous avons tous les atouts pour réussir.

APRES LES MUNICIPALES, LORSQUE LES PASSIONS SERONT RETOMBEES ET QUE TOUS SERONT AU TRAVAIL (il ne va pas en manquer!)LE NOUVEAU CENTRE 4ème62 SERA AUSSI UNE FORCE DE PROPOSITION AVEC QUI IL FAUDRA COMPTER DANS NOTRE CIRCONSCRIPTION.

NOUS ESPERONS SEULEMENT ETRE ECOUTE CHEZ NOUS COMME LE SONT NOS REPRESENTANTS NATIONAUX A PARIS.

sources : françois SAUVADET, charles DE COURSON, damien ABAD.

jeudi 28 février 2008

LE NOUVEAU CENTRE ET LA HAUSSE DES PRIX


A l’occasion de sa visite au salon de l’agriculture, François Sauvadet, président du groupe Nouveau Centre à l'Assemblée nationale, a participé à un débat sur France Bleue avec Jean-Michel Lemetayer, président de la FNSEA et Lionel Mauguin, journaliste au magazine 60 millions de consommateurs qui a réalisé l’enquête sur la hausse des prix.

Au cours de ce débat, l’auteur a lui-même reconnu qu’il était difficile d’établir des conclusions suite au constat de la hausse des prix abusive. François Sauvadet a rappelé la volonté du Groupe Nouveau Centre de déposer une proposition de résolution visant la création d’une commission parlementaire afin de comprendre les hausses "abusives" qui ne peuvent pas être imputées aux seules augmentations des produits agricoles.

De plus, lors d’un débat sur Public Sénat, il a évoqué le rendez-vous à mi-parcours de la PAC comme être l’occasion de redéfinir ses grandes orientations

vendredi 22 février 2008

ATTENTION : DANGER !! CROISSANCE 1,8%au lieu de 2,25%



Le NOUVEAU CENTRE rappelle à l'ordre les ministres et députés trop occupés par la campagne électorale. Notre priorité étant le remboursement de la dette le plus rapidement possible, les chiffres de la croissance risquent de poser des problèmes. Il est du devoir de nos dirigeants de conserver le cap malgré les échéances électorales. Les carrières politiques peuvent attendrent, LA FRANCE NE PEUT PLUS ATTENDRE.
Une croissance plus faible nécessite des économies plus importantes

Le Nouveau Centre avait mis le Gouvernement en garde sur les grandes incertitudes économiques lors du vote du projet de loi de finances et du projet de loi de finances de la sécurité sociale, en décembre dernier.

Le budget, basé sur des estimations de croissance trop optimistes (2,25% au lieu de 1,8%), élaboré sur la base d'un taux d'inflation moyen de 1,6% se sont soldés par un ralentissement de la croissance et par une hausse des prix.

Or, une croissance plus faible va entrainer des pertes de recettes, et une inflation plus élevée, des accroissements de dépenses.

Et même si les facteurs de cette hausse de l'inflation sont exogènes, le Gouvernement va devoir faire face à des revendications pour le maintien du pouvoir d' achat, des prestations sociales, familiales... L'inflation sous-jacente est faible (1,1%) mais a été portée à 2,8% par la très forte hausse des prix pétroliers (1%) – provoquée par la crise au Moyen Orient, ainsi que par la hausse des prix alimentaires (0,7%)– liée aux problèmes climatiques.

Une telle situation peut entrainer une dégradation des comptes publics. Conscient des risques qui pèsent sur le déficit public, le Nouveau Centre avait pourtant proposé, en décembre dernier, trois mesures d'économies :
- l'exonération des charges patronales pour les grandes entreprises,
- le plafonnement des niches fiscales,
- un pacte de solidarité entre l' Etat et les collectivités territoriales.


C'est pourquoi, le Nouveau Centre rappelle, une fois de plus, que ces mesures pourraient éviter à la France de pâtir des fléchissements de la croissance.


SOURCES : Charles DE COURSON

mercredi 20 février 2008

PETITE MISE AU POINT SANS POLEMIQUE

Vous êtes nombreux a nous avoir fait part de votre étonnement de ne pas voir de lien NOUVEAU CENTRE 4ème62 sur le blog de notre député, alors que nous en avions mis un vers le sien dès le premier jour. Après plusieurs interventions il nous avait promis de le faire. Ne voyant rien venir et sous la pression de nos adhérents nous avons donc décidé de supprimer l'accés a son blog. Nous le regrettons car nous avons le sentiment de bien participer a l'action du gouvernement qui doit jouer très serré.
S'il venait a corriger cet "oubli", nous n'hésiterons pas a le remettre. La démocratie en 4ème62 en sortirait victorieuse

ANDRE SANTINI ET LES CAISSES VIDES EN NEGOCIATION AVEC LES FONCTIONNAIRES


Dans une interview parue dans France-Soir, mercredi 20 février 2008, André Santini, secrétaire d'Etat chargé de la fonction publique, vice-président du Nouveau Centre, fait le point sur les négociations avec les fonctionnaires. Interview au cours de laquelle il précise : "Il est nécessaire de nouer un pacte de progrès avec les fonctionnaires, dont l’équation est simple : moins nombreux mais mieux payés."


Il fut aussi l'invité de Christophe Barbier sur LCI, mardi 19 février 2008. Au cours de l'interview, différents sujets d'actualité ont été abordés, dont la hausse du point d'indice, le rachat des RTT et le droit à la mobilité pour les fonctionnaires.
André Santini a également commenté l'information générale, dont l'opération de police menée à Villiers-Le-Bel.

REGARDER L'EMISSION

Le Président a confirmé vouloir «voir plus systématiquement les groupes» parlementaires et singulièrement celui de la majorité.




Jean-François Copé n’a plus rien à refuser à Nicolas Sarkozy depuis que le Président lui a confié le pilotage de la commission sur l’avenir de l’audiovisuel public. Le patron des députés UMP se félicite donc que le chef de l’Etat se soit montré «très ouvert» à l’idée de voir régulièrement le groupe UMP. Pour cause, l’idée est de Sarkozy lui-même, qui, il y a quinze jours, s’en était ouvert à quelques amis. Hier, lors du petit déjeuner de la majorité, le Président a d’ailleurs confirmé vouloir «voir plus systématiquement les groupes», et singulièrement celui de la majorité, pour avoir des «relations détendues». Et ce, dès la reprise des travaux parlementaires. A Copé, de préparer les esprits à ce nouveau coup de canif institutionnel. Il s’y emploie : selon lui, il est nécessaire d’«acter la centralisation renforcée au niveau de la présidence de la République» pour obtenir une meilleure «coproduction» des projets de loi entre le gouvernement et l’Assemblée nationale.
Alors que le rapport Balladur souhaitait un renforcement du rôle de l’assemblée nationnale, Nicolas SARKOZY propose des relations détendues plus fréquentes avec ses députés U.M.P. N’est-ce pas au contraire un affaiblissement du rôle du parlement qui risque d’arriver?
Pour notre cas, LE GROUPE NOUVEAU CENTRE, est très heureux d’avoir fait le choix de l’indépendance politique tout en faisant partie de la majorité présidentielle.
Le role de nos députés est en phase avec le rapport BALLADUR.
On voit ici une fois de plus que nos députés ont un role de plus en plus important à jouer à PARIS. Ce qui nous ramène une fois de plus à ce rapport qui préconise le non-cumul des mandats.

lundi 11 février 2008

LE NOUVEAU CENTRE NE VEUT PAS D'UNE CONFEDERATION AVEC L'U.M.P


Le président du groupe Nouveau centre (NC) de l'Assemblée, François Sauvadet, est hostile à une confédération regroupant toutes les composantes de la majorité présidentielle. "Je ne souhaite pas une super UMP", a-t-il déclaré. "Je ne crois pas que ce soit un signe à donner. Ce qui fait la richesse de la majorité c'est sa diversité", a-t-il dit. "Il faut qu'on continue ce qu'on fait depuis neuf mois dans la majorité. Je ne crois pas qu'une confédération soit le signe à donner. Au contraire. La majorité fonctionne bien comme elle est", a poursuivi le président du groupe Nouveau Centre. L'Elysée, selon certaines sources parlementaires, souhaiterait voir se constituer une confédération de la majorité présidentielle regroupant l'UMP, le Nouveau centre et les formations récemment créées par des ministres d'ouverture comme Jean-Marie Bockel et Eric Besson. La semaine dernière le Premier ministre, François Fillion, devait évoquer ce sujet dans un discours mais il n’a pas lu le passage en fin de compte.
Dans notre 4ème62 un bon nombre de centristes, leur député LEONCE DEPREZ en tête avait rejoint cette super U.M.P pour apporter une large majorite à jacques CHIRAC. Notre étouffement dans cette énorme structure nous a amené a reprendre notre autonomie. Nous pensons aussi que ce qui fait la richesse de cette majorité est sa diversité. Nous vous avons dèja expliqué les raisons de notre non-positionnement pour les municipales. Mais après cette échéance nous monterons en puissance avec la ferme volonté d'éxister. Nous ne laisserons personne cuisiner les centristes selon la vieille recette de J.CHIRAC: "Les centristes, on les roule dans la farine et puis on les fait frire."

lundi 4 février 2008

"ENDUR'HOMMAGE" A THIERRY SABINE ET LEONCE DEPREZ




MERCI A THIERRY SABINE D'AVOIR EU CETTE IDEE FOLLE! ET MERCI MILLE FOIS A M.DEPREZ POUR AVOIR AMENE CET EVENEMENT DE 1975 JUSQU'A CETTE ANNEE 2008.



Cet enduro du Touquet est pour nous un symbole fort.

Outre la difficulté sportive indéniable de cet événement, c’est la réunion de toutes les générations et de toutes les classes sociales qui mérite d’être retenue. Tous aiment le Touquet ce jour là. Même tous les ténors politiques de la région (toutes étiquettes confondues) étaient fiers d’y participer. Les « écolos » finiront par reconnaître les gros efforts faits depuis plusieurs années. Au NOUVEAU CENTRE nous souhaitons garder cette image pour l’appliquer a l’ensemble de la population de la 4ème62 en matière d’éducation , de logement et d’accès pour tous aux activités culturelles et sportives.

jeudi 24 janvier 2008

APRES LE RAPPORT D'E.BALLADUR, CELUI DE J.ATTALI



Faire bouger la France
Le Nouveau Centre, considère le rapport Attali comme le moyen de faire bouger La France. La réforme doit permettre de faire évoluer "notre société et nos pratiques collectives" pour que les prochaines années soient celles d’une réelle reconquête économique, d’une cohésion sociale et d’un bien-être collectif.
La France est face à un choix : elle doit engager des réformes pour ne pas décrocher face à nos partenaires européens.

Le rapport Attali a le mérite de soulever des problématiques incontournables" : compétitivité des entreprises, réduction du coût du travail, ouverture des professions règlementées, avenir du financement de la protection sociale, diminution de la dépense publique, réorganisation territoriale de notre pays, modernisation de l’enseignement supérieur afin qu’il soit porteur d’innovation et de rayonnement international.

C’est de "notre responsabilité d’examiner toutes ces mesures sans tabou, parce que la réforme est notre seule chance pour l’avenir".
Mais n’oublions pas qu’avant ce rapport il y a eu celui d'E.Balladur, que certains dans la majorité refusent à voir appliquer.

Les élections qui arrivent ne doivent en aucun cas reporter le temps de la réforme, il y va de l’avenir de la France et non pas de certains de nos élus.

Source : commentaires de F. Sauvadet.

samedi 19 janvier 2008

LE NOUVEAU CENTRE, L'ANNEE 2008, LA 4ème62 et LES MUNICIPALES



Lors des vœux du Nouveau Centre présentés au siège national à Paris, notre président Hervé Morin a rappelé notre chemin considérable parcouru en moins de six mois, si l’on considère les vacances comme une vrai période. Notre parti compte plus de 7000 militants a jour de cotisation , 72 fédérations, un groupe à l’Assemblée Nationale et une demi douzaine de sénateurs et députés européens. Après les élections municipales et à l’approche des sénatoriales, nous monterons en puissance. Nous allons récolter le fruit de nos efforts effectués pour nous sortir des ruines et des cendres de l’UDF et retrouver notre identité que nous avions perdu au sein de l’U.M.P.
Les priorités de notre expression sont : la démocratie et l’Europe.
Les français ont assisté depuis au moins deux décennie à l’impuissance du système public, à l’incapacité de l’État à traiter des maux dont souffre notre pays. Parmi les rendez-vous qui nous attendent, il y a d’abord la révision de la Constitution.

Avec le quinquennat, le pouvoir du président est renforcé, mais le rôle du parlement s’affaiblit et l’ élection législative devient subordonnée et seconde. La confirmation vient par la différence de participation : 83,97% 2ème tour de présidentielles contre 49,58% 2ème tour des législatives. A cet exécutif fort il faut un parlement fort.
LE NOUVEAU CENTRE compte mettre tout son poids pour donner au Parlement la place qui lui incombe dans une démocratie moderne par :

- une dose de proportionnelle
- non-cumul des mandats.

Ce sujet du non-cumul des mandats proposé par le comité BALLADUR, et repoussé par les élus concernés jette a nouveau un discrédit sur le monde politique. Les Français ne veulent plus de ces hommes politiques qui pensent plus a leur carrière qu’aux soucis des Français.

LE NOUVEAU CENTRE entend aussi encourager la majorité à réformer le système des collectivités locales et de leurs empilements.

LE NOUVEAU CENTRE défend le traité simplifié européen, pour que l’Europe en entrant sur le chemin politique ne soit plus réduite a une zone de libre échange, mais qu’elle soit , comme disait JEAN MONNET une communauté qui coalise non des États mais des hommes.

Dans notre 4ème circonscription du Pas de Calais, LE NOUVEAU CENTRE est aussi fier du chemin parcouru depuis 6 mois. Des encouragements pour continuer a défendre nos idées nous arrivent régulièrement des 6 cantons de la 4ème. Comme nous vous l’avions indiqué, nous ne prendrons aucune position officielle pour les municipales, (n’étant pas encore élus par les militants) mais défendrons nos idées avec fermeté. Nous sommes toutefois inquiets de la tournure que prend la campagne dans plusieurs villes de notre circonscription. Nous les centristes, avons toujours apporté nos soutiens pour faire gagner l’union la plus large et la plus proche de nos convictions. Aujourd’hui dans des villes comme : BERCK, ETAPLES, LE TOUQUET et MONTREUIL SUR MER, il semble que nous nous orientions vers des doublons de listes dites « de droites ». LE NOUVEAU CENTRE déplore cette situation. Il serait bon de préserver l'union de cette 4ème62. Mais comme partout en France le N.C 4ème62 va monter en puissance après les municipales.


Le comité N.C 4ème 62

mercredi 9 janvier 2008

LES DERNIERS VOEUX DE M. LEONCE DEPREZ, MAIRE DU TOUQUET.


Ce vendredi 4 janvier M.DEPREZ Léonce présentait ses vœux à la population touquettoise.


Que d’émotions! En effet, quelques jours après avoir annoncé sa décision courageuse de ne plus être maire, la population assistait a ses derniers vœux officiels. L’émotion était présente dans ses paroles, son épouse qui arrive si souvent a le soutenir dans les moments difficiles, ne put retenir ses larmes, suivis par plusieurs adjoints et conseillers . Dans l’assistance des visages se colorent et des gorges se serrent. Cet homme vient de faire passer quelque chose dans la salle. En introduction il avait invité les gens a se répartir sur la gauche et sur la droite a l’image de la politique française, mais en rappelant qu’il y a toujours eu un centre en France et c’est souvent la où les français peuvent se rassembler. Pour nous, LE NOUVEAU CENTRE , c’est la plus belle image qu’il pouvait nous offrir.

Autre moment fort : lorsqu'il a pleuré sur l'épaule d'Hubert FLAMENT son malheureux premier adjoint qu'il avait formé pour poursuivre son action.

A notre tour de lui présenter nos meilleurs vœux.

Et de lui dire "merci" pour ce qu’il a fait depuis 1965 pour les idées centristes.

Du P.S.D à l’U.M.P (sensibilité : démocrate et populaire) en passant par le C.D.S et l’U.D.F par suite de regroupements pour faire l’union la plus large, il a toujours défendu nos idées sociales libérales et européennes pour les mettre au services de ce qui est l’essentiel pour lui : L’HOMME.

Paul ALDUY, Charles BAUR, Charles CECCALDI, Raymond MENAND, Joseph KLIFA, Émile MULLER, Max LEJEUNE, André SANTINI etc. sont ses compagnons du début de sa carrière politique. Tous centristes !

Mais nous n’irons pas plus loin, car il n’a jamais été l’homme d’un parti.


MERCI ENCORE !



Toute nos éxcuses pour la photo de gauche;elle est un peu floue : c'est l'émotion du photographe.
Photo de droite : la voix du nord-net.