jeudi 26 juin 2008

NON AU REMBOURSEMENT A TAUX REDUIT DES MEDICAMENTS DES PERSONNES ATTEINTES D'A.L.D

LA REPONSE FAITE PAR ROSELYNE BACHELOT A LA QUESTION DE J.C LARGARDE LORS DES QUESTIONS AU GOUVERNEMENT EST INQUIETANTE.

La réaction de Jean-Christophe Lagarde (24 juin 2008) :
Jean-Christophe Lagarde, président exécutif du Nouveau Centre et député de Bobigny-Drancy exprime sa totale opposition à la proposition faite par Frédéric Van Roekeghem, directeur de l'Union nationale des caisses d'assurance-maladie, dans une interview accordée au Journal "Les Echos" de ne plus rembourser qu'au taux réduit de 35 % les médicaments complémentaires à une longue maladie actuellement pris en charge à 100 % pour les personnes en ALD (Affection Longue Durée). Le député de Seine-Saint-Denis a interrogé Roselyne Bachelot à ce sujet lors de la séance des questions au Gouvernement. Sa réponse est inquiétante pour l'avenir de la solidarité.

Le directeur de l’UNCAM justifie cette proposition de déremboursements par la volonté de résorber le déficit de la branche maladie en transférant les remboursements vers les mutuelles et assurances privées.
"Ces déremboursements toucheraient plus de 8 millions de nos concitoyens atteints d’une ALD qui verraient alors leur mutuelle majorée. Sans compter que 8% de nos concitoyens les plus défavorisés ne disposent pas de complémentaire et ne bénéficient pas de la CMU. Une telle mesure, conduirait inévitablement à des abandons de soins pour des dizaines de milliers de nos concitoyens au prétexte qu’on considérerait une partie de leur traitement comme des médicaments de conforts" souligne Jean-Christophe Lagarde.

"Notre pays a déjà laissé se constituer des ghettos sociaux, il est inacceptable de laisser aujourd’hui se créer des ghettos sanitaires par le biais d’une telle mesure" a conclu le Député-Maire de Drancy.

vendredi 13 juin 2008

GROGNE CHEZ LES CENTRISTES DE L'UMP






La décision que nous avons prise il y a deux ans de quitter l'U.M.P4ème62 pour rejoindre le NOUVEAU CENTRE et soutenir l'action de Nicolas SARKOSY, était la bonne à voir le mal-être de certains de nos amis centristes restés à l'U.M.P.
L'UMP est confrontée au mécontentement de formations et clubs de réflexion associés, qui lui reprochent de ne pas assez prendre en compte les différentes sensibilités du parti et de se replier sur l'ancien RPR. La ministre du logement Christine Boutin, issue de l'UDF et présidente depuis 2002 du Forum des républicains sociaux (8.000 adhérents revendiqués), a saisi l'occasion d'un conseil national de son parti, samedi, pour passer à l'attaque. L'UMP "est en train de redevenir un parti replié sur lui-même", a-t-elle lancé. "Si l'UMP reste l'expression unique de l'ancien RPR, elle fera 15-17% aux élections européennes et régionales", a-t-elle mis en garde. Des parlementaires issus de l'UDF, qui ont rejoint l'UMP en 2002, ont eux aussi des revendications. C'est le cas de Claude Goasguen et Hervé de Charette, co-dirigeants du club de réflexion "Convention démocrate", qui veulent l'instauration de courants au sein de l'UMP. "Il faudrait que l'UMP se souvienne qu'elle n'est pas que le RPR", souhaite M. Goasguen. "Les colloques et les groupes de travail tout préparés n'inciteront pas les gens à venir adhérer", a-t-il déclaré à l'AFP. "Il faut que ce parti soit beaucoup plus vivant". MM. de Charette et Devedjian se sont récemment affrontés, par voie de presse interposée. Le premier a reproché au second sa "présidence brejnévienne" à la tête d'une UMP "RPRisée". "Les militants UMP désertent nos permanences. Il y a un vrai malaise dans ce parti", a affirmé le député du Maine-et-Loire. "Je connais le prix des états d'âme de M. de Charette, il est de 600.000 euros!", a répliqué M. Devedjian, évoquant le montant de la subvention refusée par l'UMP à la "Convention Démocrate". De son côté, le Parti radical (10.000 adhérents revendiqués), présidé par le ministre d'Etat Jean-Louis Borloo et qui compte 24 députés et sénateurs, affirme avoir "une série de particularismes" qui lui évitent ce "problème existentiel", selon son président d'honneur, André Rossinot. "Je souhaite aussi qu'on joue toutes les sensibilités de l'UMP, parti de la droite républicaine et du centre, dans sa complexité", souligne-t-il cependant.

LE "NON" IRLANDAIS !


Alors que 18 pays dont la France ont d’ores et déjà ratifié le Traité de Lisbonne, une majorité d’Irlandais vient aujourd’hui de le refuser. Pour les européens c’est un moment de tristesse, et pour nous, suite à l’élan européen né du Traité de Lisbonne une grande déception. Parce que le Traité de Lisbonne, obtenu notamment grâce à l’engagement de Nicolas Sarkozy et d’Angela Merkel, constitue une réponse appropriée à l’échec de la "constitution européenne" en 2005, il donne une impulsion nouvelle à l’Union européenne.


Le "non" Irlandais ne saurait nous amener à une dégradation de notre ambition européenne, mais nous invite au contraire à continuer le chemin de l’Europe à partir d’idées et de sujets concrets comme ceux de l’environnement, de la lutte contre l’immigration clandestine ou encore de la défense. Dans ce scrutin qui révèle un faible taux de participation, le choix d’une partie des Irlandais nous conduit à être davantage les ambassadeurs de l’Europe, et nous oblige à déployer notre énergie pour défendre les principes d’une Europe politique indispensable. Le "non" Irlandais est une exigence à plus d’Europe et une invitation à construire l’Europe que veulent les citoyens européens.

L’Europe est la plus belle de nos ambitions politiques. Nous, centristes, sommes les héritiers de la tradition européenne, libérale et démocrate chrétienne. Plus que jamais, alors que se constituent de très grandes puissances, Etats-Unis, Chine, Inde ou Brésil, nous affirmons que les nations européennes ne pourront rien sans l’Union. Plus que jamais, notre Union a besoin de règles pour garantir aux Européens la sécurité qu’ils sont en droit d’attendre, plus que jamais notre Union doit relancer l’esprit de conquête sans lequel nous n’aurions plus de destin.

Si nous enregistrons le choix d’une majorité d’Irlandais, nous appelons à respecter celui fait par les 18 pays ayant déjà ratifié le traité de Lisbonne, et demandons que le processus de ratification dans les autre pays soit respecté et puisse aller à son terme.


source : hervé MORIN

jeudi 12 juin 2008

LES NOMADES VONT ARRIVER MAIS LES AIRES D'ACCEUIL SE FONT RARES

Cinq missions évangéliques d'une semaine sont prévues dans la région d'Étaples - Le Touquet - Cucq cet été. La première arrive le 6 juillet.

Mais ou?

Le projet d'aire de grand passage à Étaples est complètement remis en question.

Les endroits qui accueillaient régulièrement les nomades ces dernières années ne sont plus disponibles.

Joaquin Jourd'hui, directeur de la communauté de communes Mer et Terre d'Opale (CCMTO) indique dans les colonnes de La voix du Nord, que l'ancien camping municipal à la pointe Nord du Touquet ne peut plus être retenu. « C'est un site classé. L'État n'est plus favorable à ce qu'on y accueille des nomades » indique t- il .

Il ne reste finalement que deux endroits pour accueillir les missions évangéliques :

- l'espace Nouveau Siècle au Touquet, près du collège en construction.
- le terrain de tir à l'arc à Cucq.


Il est plusque temps que la C.C.M.T.O se mette en règle par rapport à la loi BESSON.

Mais n'est-il pas déja trop tard pour obtenir les aides de l'état?

LES TOUQUETTOIS NE RENCONTRERONS PLUS CETTE ANNEE DE TELLES DEJECTIONS AU PARC DE L'ESTUAIRE!

SARKO CHERCHE A SE FAIRE PLAINDRE




"Moi, je suis obligé de tout faire moi-même, sinon ça n'avance pas. Si ça ne marche pas, c'est moi qui en prends plein la gueule; et si ça marche, c'est toujours les autres qu'on remercie."
C'est trop injuste. Mais Sarko a des exemples de mauvais traitements qu'on lui fait subir.
"Prenez la nouvelle maire UMP de Calais. Tout le monde dit qu'elle avait conquis ce bastion communiste grâce à ses qualités. On a oublié que j'y étais aussi pour quelque chose! Je suis allé quinze fois à Sangatte et elle a gagné aussi grâce à cela"
Sarko feint d'ignorer que, depuis la fermeture de Sangatte, des centaines d'immigrés clandestins errent toujours dans les rues et dans les environs de Calais.
Mais c'est peut-être la faute à Fillion....



Source : Article paru dans le Canard Enchaine du 28 mai 2008