vendredi 22 février 2008

ATTENTION : DANGER !! CROISSANCE 1,8%au lieu de 2,25%



Le NOUVEAU CENTRE rappelle à l'ordre les ministres et députés trop occupés par la campagne électorale. Notre priorité étant le remboursement de la dette le plus rapidement possible, les chiffres de la croissance risquent de poser des problèmes. Il est du devoir de nos dirigeants de conserver le cap malgré les échéances électorales. Les carrières politiques peuvent attendrent, LA FRANCE NE PEUT PLUS ATTENDRE.
Une croissance plus faible nécessite des économies plus importantes

Le Nouveau Centre avait mis le Gouvernement en garde sur les grandes incertitudes économiques lors du vote du projet de loi de finances et du projet de loi de finances de la sécurité sociale, en décembre dernier.

Le budget, basé sur des estimations de croissance trop optimistes (2,25% au lieu de 1,8%), élaboré sur la base d'un taux d'inflation moyen de 1,6% se sont soldés par un ralentissement de la croissance et par une hausse des prix.

Or, une croissance plus faible va entrainer des pertes de recettes, et une inflation plus élevée, des accroissements de dépenses.

Et même si les facteurs de cette hausse de l'inflation sont exogènes, le Gouvernement va devoir faire face à des revendications pour le maintien du pouvoir d' achat, des prestations sociales, familiales... L'inflation sous-jacente est faible (1,1%) mais a été portée à 2,8% par la très forte hausse des prix pétroliers (1%) – provoquée par la crise au Moyen Orient, ainsi que par la hausse des prix alimentaires (0,7%)– liée aux problèmes climatiques.

Une telle situation peut entrainer une dégradation des comptes publics. Conscient des risques qui pèsent sur le déficit public, le Nouveau Centre avait pourtant proposé, en décembre dernier, trois mesures d'économies :
- l'exonération des charges patronales pour les grandes entreprises,
- le plafonnement des niches fiscales,
- un pacte de solidarité entre l' Etat et les collectivités territoriales.


C'est pourquoi, le Nouveau Centre rappelle, une fois de plus, que ces mesures pourraient éviter à la France de pâtir des fléchissements de la croissance.


SOURCES : Charles DE COURSON

1 commentaire:

Anonyme a dit…

TOUT A FAIT LA FRANCE VA MAL PENDANT QUE LES PARLEMENTAIRES NE S OCCUPENT QUE LEUR INTERET PERSONNEL SOIT ILS FONT LEUR CAMPAGNE MUNICIPAL AU LIEU DE FAIRE LEUR TRAVAIL LEGISLATIF VIVEMENT LA DISSOLUTION POUR REMETTRE TOUT CELA A PLAT
GUISLAIN DEZOTEUX
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