jeudi 6 mars 2008

LE NOUVEAU CENTRE QUI EST OPPOSE AU CUMUL DES MANDATS CONTINUE A TRAVAILLER POUR LA FRANCE PENDANT LA CAMPAGNE DES MUNICIPALES



Pendant que l’assemblée nationale a donné congé a ses députés pour s’occuper de la campagne électorale des municipales, le groupe NOUVEAU CENTRE est le seul a continuer a faire des propositions au gouvernement et a s’inquiéter de la situation actuelle.

Loin des spéculations politiciennes de salons qui masquent l’absence de propositions alternatives, Nicolas Sarkozy a réaffirmé clairement que notre objectif prioritaire était la mise en œuvre du projet que l’ensemble de la majorité a proposé aux Français en juin dernier.
Nous sommes fiers au Nouveau Centre de l’action entreprise depuis 9 mois aux côtés du Président de la République et du Premier Ministre parce qu’elle est utile pour la France et pour les Français."

François Sauvadet, président du groupe et les députés Nouveau Centre rappellent que le pouvoir d’achat des retraités reste pour eux un sujet de préoccupation notamment en ce qui concerne les retraites les plus faibles et les pensions de réversion.

Si les personnes bénéficiant du minimum vieillesse ont vu leur pouvoir d’achat diminuer, les députés Nouveau Centre rappellent que cette dégradation est le résultat de l’accélération de l’inflation depuis la fin 2007 mais surtout des retards accumulés, année après année, dans la revalorisation de leurs pensions.

Lors d’une séance de questions au gouvernement au mois de janvier, Xavier Bertrand, en réponse à une question de Charles de Courson, député Nouveau Centre de la Marne, avait rappelé que les engagements pris pendant la campagne présidentielle seront tenus ; à savoir un objectif fixé à 25% d’augmentation pour les petites retraites pendant la législature. Il avait aussi annoncé la revalorisation des pensions en cours d’année 2008 au-delà des 1,1% du 1er janvier.

Le groupe Nouveau Centre demande au gouvernement, au-delà de cet engagement qui doit être tenu, de revaloriser très rapidement le minimum vieillesse mais aussi de prendre en compte dans cette revalorisation le minimum contributif et les pensions de réversion. Il serait juste que les pensions soient revalorisées chaque année du montant de l’inflation.




Suite aux différents remous politico-médiatiques ayant accompagné l’éclatement du scandale de la rémunération de Denis Gautier-Sauvagnac, président de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (IUMM), Damien Abad, président des Jeunes Centristes, appelle à une "plus grande transparence" de la vie économique et sociale française.
Sans remettre en cause le modèle de démocratie libérale, le mouvement jeune du Nouveau Centre considère néanmoins qu’il faut être à l’avenir plus "vigilant" à l’égard d’opérations financières de ce genre.

Le caractère choquant et immoral de cette affaire a en effet "bouleversé un grand nombre de Français".

L’État, sans entraver la liberté d’entreprise, se doit d’exercer son contrôle de façon plus soutenue afin de réduire à néant ces pratiques inacceptables.

Mieux qu’une force d’appui le Nouveau Centre est une force de propositions. Localement, il dirige de grandes villes, des villes moyennes, des départements. A l’Assemblée comme au Sénat, nous sommes une force de propositions, comme sur les franchises médicales, les retraites. Nous avons avancé des propositions concrètes. Charles de Courson et Philippe Vigier (qui fut invité par D.FASQUELLE a un débat ou le NOUVEU CENTRE 4ème62 ne fut pas invité) ont proposé que l’on supprime les niches fiscales en France pour augmenter les petites retraites qui en ont vraiment grand besoin... Ce n’est pas encore passé, mais quelque chose nous dit qu’après les élections municipales, le Nouveau Centre sera encore mieux entendu. Dans le projet de loi que nous allons voir en mars ou avril sur la modernisation de l’économie, nous nous réjouissons que l’on réduise les délais de paiement pour les très petites entreprises et les petites entreprises : c’est vital pour elles!

Charles de Courson est l’auteur d’une proposition de loi pour le retour à l’équilibre des finances publiques.
Cette proposition de loi vise à inscrire dans la Constitution française l’impossibilité de présenter au Parlement une loi de finances déficitaire sur les dépenses de fonctionnement.
Que cette loi soit constitutionnelle permettra de faire de cette exigence une règle d’or.
Les parlementaires n’ont pas voté un budget en équilibre depuis vingt-huit ans !
La dette a atteint 1 200 milliards d’euros, et le remboursement de ses intérêts absorbe plus des trois quarts de l’impôt sur le revenu !
Autant on peut accepter l’idée de s’endetter pour les investissements, autant il est inacceptable de l’être sur les dépenses de fonctionnement.

Quelles seraient les conséquences de l’adoption de cette loi ?
Prenons l’exemple de l’Allemagne, qui l’a fait avant nous : réduire son déficit a été un accélérateur de croissance.
Cela lui a permis de réorienter la dépense publique, pour la rendre plus efficace et plus utile, donc de prélever moins – ce qui dopera au passage le pouvoir d’achat !

Quels sont les effets de ce déficit sur l’économie française ?
C’est comme si nous étions engagés dans une course, à la compétitivité et à la croissance, en ayant deux boulets aux pieds : à l’un, les déficits publics, à l’autre, une dette qui a crû considérablement.
D’ailleurs, la Commission européenne nous demande d’engager un effort d’assainissement et de maîtrise de la dépense publique.

Alors que faut-il faire ?
Le déficit de fonctionnement est de l’ordre de 22 milliards d’euros sur un déficit global de 43 milliards (investissements compris).
Nous avons donc 4 à 5 milliards d’économie à faire par an pour parvenir à l’équilibre budgétaire en dépenses de fonctionnement en cinq ans, ce qui est notre objectif.
Il faut mettre en œuvre dès aujourd’hui une revue générale des dépenses publiques et une réforme de l’État.
La réforme de la carte judiciaire est un premier pas, il faut poursuivre vigoureusement, en impliquant particulièrement les collectivités locales – elles représentent 90 à 92 milliards sur les 370 milliards du budget de l’État !

Quelles seront les conséquences de l’adoption de cette loi pour le contribuable français ?
Une conséquence évidente sera la baisse des prélèvements obligatoires.
Réduire le déficit aura des conséquences aussi pour nos enfants, auxquels on ne peut pas laisser une telle dette.
Nous devons en assumer la responsabilité.
Les Français perçoivent trop souvent la réforme comme une menace, or c’est notre seule chance, on ne peut pas rester dans cette situation. Sinon nous allons au-devant de décrochages de notre pays dans la compétition internationale, alors que nous avons tous les atouts pour réussir.

APRES LES MUNICIPALES, LORSQUE LES PASSIONS SERONT RETOMBEES ET QUE TOUS SERONT AU TRAVAIL (il ne va pas en manquer!)LE NOUVEAU CENTRE 4ème62 SERA AUSSI UNE FORCE DE PROPOSITION AVEC QUI IL FAUDRA COMPTER DANS NOTRE CIRCONSCRIPTION.

NOUS ESPERONS SEULEMENT ETRE ECOUTE CHEZ NOUS COMME LE SONT NOS REPRESENTANTS NATIONAUX A PARIS.

sources : françois SAUVADET, charles DE COURSON, damien ABAD.

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